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    Orya Erick Rend...Compte

     

     « Moi, je vous baptise d'eau, pour vous amener à la repentance [ou "Métanoïa" ! ] ; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers. Lui, il vous baptisera du Saint Esprit et de feu.».

     

    [Mathieu 3.11]

     

    Mora

     

     

    Un Type Très Particulier de Rencontre Rapprochée ! 

     

    (http://www.forum-ovni-ufologique.com/t13248-1977-les-evenements-ovni-de-colares#ixzz3SDLmD1SD.)

     

    Les événements se sont principalement concentrés sur la ville de Colares, environ 2000 habitants, sur l'île du même nom, qui se trouve dans l’État du Pará, dans le delta du fleuve Amazone sur la côte Nord-Est du Brésil. Mais la région entière a été visitée par le même phénomène.

     

    En Août 1977 sur l'île de Colares, un phénomène étrange à commencé à se produire, que les autochtones nommaient Chupa-chupa.

     

    Le phénomène « Chupa-Chupa » en Amazonie

     

    En Amazonie, les OVNIS sont appelés les "aparelhos" [les machines] par des victimes et la violence de ces choses extraterrestres, principalement dans leurs attaques sur des femmes, ont fait nommer ce phénomène bizarre : "Chupa-chupa." [Suce-Suce]

     

    (http://www.forum-ovni-ufologique.com/t13248-1977-les-evenements-ovni-de-colares#ixzz3SDPAQGGH.) 

     

    Des objets lumineux étranges sont apparus au-dessus des quelques villes de la région. Ces objets projetaient souvent de minces rayons, apparemment de lumière, dirigés vers les gens. Les personnes touchées s'évanouissaient et se sont réveillaient avec une anémie étrange. Elles témoignent qu'elles se sentaient comme si une partie de leur sang a été prélevée par les rayons étranges.

     

    Le Senor Sebastião Vernek Miranda a décrit son expérience comme suit : "J'étais là avec mon épouse, Palmira, devant l'église sur le front de mer, quand, vers environ 20:00, nous ont vu une lumière intense, orangée, arriver de la mer vers la ville. Pendant qu'elle s'approchait, elle s'est élevée, et puis, se déplaçant rapidement, a disparu vers la partie intérieure de l'île."

     

    Le coiffeur Carlos Cardoso de Paula, âgé de 49 ans, vivant au numéro 231 de la Travessa Deodora Da Fonseca, a eu une rencontre encore plus rapprochée avec des "lumières", comme il le rapporte lui-même :

     

    "Tout le monde était endormi à part moi. J'étais en train de fumer une dernière cigarette quand soudain une boule de feu est entrée dans notre maison, vers le haut, près du pignon. Elle a commencé à tourner en rond dans la salle et puis est finalement venue très près de mon hamac. Elle est remontée le long de ma jambe droite jusqu'à mon genou (sans toucher ma peau). J'ai observé avec beaucoup de curiosité pendant qu'elle se déplaçait vers mon autre jambe. Alors j'ai commencé à me sentir faible et somnolent. Ma cigarette est tombée de ma main et je suis sorti en criant. L'aérolithe a rapidement disparu et tout le monde s'est réveillé. Je pense qu'elle avait recherché une veine dans mon corps mais n'est pas parvenu à le faire. Pendant que son éclat croissait j'ai senti une sorte de chaleur venir d'elle."

     

    En fait, tellement de gens ont rapportés avoir été attaqués par des faisceaux de lumière sortis de petits moyens ou grands OVNIS dans ce secteur que seulement quelques un sont mentionnés ici.

     

    Ovni à Mosqueiro au sud de Colares

     

    Le 20 octobre, trois femmes ont été frappées sur leur poitrine par les faisceaux de lumière : "chacune des trois a été atteinte d'une tension nerveuse énorme et d'une sorte de lassitude inconnue" comme si elles recevaient des décharges électriques constantes" écrivit un journal.

     

    Dans la soirée du 29 octobre, Benedito Campos et son épouse de dix-sept ans Silvia Mara étaient à leur domicile, quand "ils ont repéré un objet ovale et argenté émettant un faisceau verdâtre comme un phare, vers la salle où ils se trouvaient. Très étonnés, ils se sont rapprochés d'une petite fenêtre et, au moment où ils faisaient cela, un rayon se projeta à travers la fenêtre et atteignit directement Silvia, la jetant dans une sorte d'état de transe." Silvia, qui était alors enceinte, s'est évanouie, sur quoi deux entités sont apparemment entrées dans la maison portant quelque chose ressemblant à une torche dorée et "le faisceau a de nouveau frappé Silvia, cette fois dans le bras gauche au niveau du poignet. Ses veines ont semblé "se soulever" comme gonflées par le faisceau qui les frappaient." 

     

    Plus tard, alors qu'il s'était rendu chez un voisin, Benedito a été également brièvement paralysé par un rayon lumineux. Craignant la perte du bébé à naître, le mari et l'épouse ont été transportés de nuit par bateau à la clinique médicale de Mosqueiro, suivis pendant tout le trajet par l'OVNI, qui n'a plus fait d'autre tentative de leur nuire. Ils sont restés là pendant trois jours, où l'épouse put récupérer, mais Benedito "était dans un état de dépression grave pendant quelques jours, ses fonctions motrices perturbées et, selon les propos de sa mère, "pleurant fréquemment." 

     

    L'activité des OVNIS au-dessus de l'île de Colares était si intense que les gens ont commencé à penser que les "Chupa-chupas" essayaient d'établir une sorte de contact avec eux. Telle était l'opinion exprimée par le Sr Raimundo Ferreira "Mimi" Monteiro. Il pense toujours que les engins provenaient des fonds de la mer ou d'une sorte de base sous-marine située dans le comté de Marajó ou peut-être dans la région du Caldeirão.

     

    Alfredo Bastos Filho, un ancien maire de ville, a confirmé ceci et a indiqué : "oui, en effet, je puis vous dire qu'il n'y avait alors pas un instant de tranquillité. La population était terrifiée par cette affaire de "Chupa-chupa". Je suis même parvenu à voir en personne "Mirota", une des femmes victimes des rayons qui était en traitement médical à la clinique de santé."

     

    Les autochtones ont été tellement effrayés que plusieurs des femmes et des enfants ont quitté la ville. Les hommes qui sont restés allumaient des feux pour monter la garde la nuit, faisant en outre éclater des feux d'artifice et frappant des bidons à chaque fois qu'ils ont vu l'approche des Chupa-chupas. D'autres s'enfermaient dans leurs maisons par crainte du phénomène. On a mentionné plus tard que plus les gens faisaient de vacarme et de feux d'artifice pour les éloigner, plus ces engins s'approchaient d'eux. 

     

    Des blessés et un mort 

     

    En Novembre 1977 le médecin en charge de la santé publique dans l'île, le docteur Wellaide Cecim Carvalho, a pris soin d'environ 35 personnes prétendant avoir été touché par l'étrange rayon. Elle a pris des échantillons de sang, et a conclu que les victimes ont souffert d'hyperémie généralisée, de maux de tête chroniques superficiels, de brûlures, de fièvres intenses, de nausées, tremblements dans le corps, raideurs, asthénie et présentaient de très petits trous dans la peau là où ils avaient été frappés par les rayons. 

     

    Elle a écrit : "tous avaient souffert de lésions au visage ou dans la région thoracique." Les lésions, ressemblant à des dommages de radiations, "ont commencé par le rougissement intense de la peau dans le secteur affecté. Plus tard les poils tombaient et la peau tournait au noir. Il n'y avait aucune douleur, seulement une légère chaleur. Des marques de petites piqûres dans la peau pouvaient également être notées. Les victimes étaient des hommes et des femmes d'âges variables, sans liens entre eux." 

     

    En décrivant leurs expériences avec ces faisceaux lumineux, la plupart des victimes ont affirmé qu'elles ont été "immédiatement immobilisées, comme si un poids très fort pesait sur leur poitrine. Le faisceau avait environ sept ou huit centimètres de diamètre et était de couleur blanche. Il ne les traquait pas mais les frappaient soudainement. Quand ils ont essayé de crier aucun son ne sortait, mais leurs yeux sont restés ouverts. Le faisceau était ressenti comme chaud, "presque aussi chaud qu'une brûlure de cigarette," à peine tolérable. Après quelques minutes la colonne de lumière se rétractait lentement et disparaissait." La plupart des symptômes ont disparu en général après une semaine.

     

    A Agulhas Fincadas, Mme Maria Lopes, habitante de Vila Gorete, aux confins du Rio Tapajós, dans le voisinage de Santarém (Pará), raconte son cas impliquant des engins étranges qui absorbent l'énergie des êtres humains, connus sous le nom de Chupa-Chupa. "J'ai vu un objet se poser tranquillement dans les buissons ici tout près... Il avait attaqué deux hommes et une femme, qui avaient commencé à se déplacer avec deux pêcheurs", raconte Maria. D'autres gens de l'endroit avaient été paralysés en observant la scène et des hommes ont été tués dans des circonstances identiques. Au cœur de chacun des décédées ils y avaient eu des ensembles de petits trous comme des dizaines d'aiguilles." 

     

    Beaucoup s'étaient blessés en essayant d'échapper à un de ces objets étranges. Dans de nombreux cas, les marques laissées par les rayons sur la peau de victimes étaient des marques qui pouvaient avoir jusqu'à huit petits trous. Dans ces occurrences, l'appellation de Chupa-Chupa semblait bien appropriée car elles avait perdu jusqu'à approximativement 300 ml de sang par ces blessures. 

     

    Ce fut le cas pour Claudomira, une habitante de l'île de Colares. Elle affirme que sa famille ne trouvait déjà plus un sommeil normal à cause de la crainte de ces engins. "En un de ces jours, après minuit, je me suis réveillée en raison d'un flash puissant, une sorte de rayon de lumière verte claire focalisée qui est descendue du haut du toit vers ma poitrine gauche. J'ai essayé de crier, mais ma voix n'a pas fonctionné. J'ai senti une agréable chaleur ... Plus tard, ce faisceau de lumière a diminué et j'ai vu que j'ai été brûlée."

     

    Claudomira a indiqué qu'elle a aperçu un objet étrange, ressemblant à un parapluie, duquel un être de peau claire, avec des yeux "orientaux" et de grandes oreilles sortit. Selon elle, la créature était habillée d'un vêtement vert serré et avait eu une sorte de pistolet dans la main, qui a émis le faisceau lumineux. A ce moment, Claudomira s'est senti perforé comme par des aiguilles sur son sein. " 

     

    Après cela, j'ai ressenti une migraine et une grande faiblesse, qui m'a laissée prostrée pendant plusieurs jours." Le lendemain de l'événement, elle avait été dirigée vers l'unité sanitaire de la ville, où elle a été prise en charge par le docteur Wellaide Cecim Carvalho, qui l'a envoyée à l'institut médical Renato Chaves, à Belém, pour des examens de complément. Son malaise et ses migraines constantes ont duré de nombreux jours, suivis de fatigue et de faiblesse. Des années après, Claudomira ne se sent toujours pas complètement remise. "Ma santé n'est jamais redevenue la même depuis cette nuit." Elle n'est pas la seule avoir vécu une telle situation. Une estimation dit que des milliers de gens, également des hommes, avaient souffert les attaques du Chupa-Chupa dans les années de 1970 à 1980, et ces incidents se produisent toujours aujourd'hui, bien que moins fréquemment.

     

    "Les séquelles émotives et physiques sont très communes dans ces cas," affirme le docteur Wellaide Cecim Carvalho, qui a pris soin de Claudomira. Bien qu'elle ait été sceptique et qu'elle ait d'abord cru que les histoires de Chupa-Chupa étaient des croyances populaires ou de la sorcellerie, le Dr Wellaide a fini par être convaincue de la véracité des cas quand elle a été confrontée à leur fréquence croissante. "Avec l'augmentation du nombre des personnes blessées, j'ai commencé à accorder plus d'attention aux dommages existants. J'ai vu les choses qui n'existent pas dans mes livres médicaux," dit-elle. Selon elle, les victimes de Chupa-Chupa présentaient des brûlures des plus étranges, pas comme celles provoquées par le feu ou l'eau chaude, comme on pourrait le penser, mais très semblables à celles produites par des irradiations de cobalt.

     

    "Les dommages changeaient avec le temps. D'abord cela commençait par une raideur intense dans le secteur touché, ce que l'on appelle une hyperémie. Plus tard, les poils et cheveux de la région affectée commençait à tomber (alopécie) et des jours plus tard la peau pelait. "Dans cette période de développement," a dit Wellaide, "il était possible de noter des trous, semblables aux perforations par des aiguilles." Un des cas les plus intéressants dont elle a assuré les soins s'est produit avec une dame qui avait des problèmes cardiaques. Elle est arrivée au bureau du docteur très nerveuse et immédiatement elle a montré son sein gauche, sur lequel il y avait deux trous étranges. 

     

    En 1977, l'ile brésilienne de Colores est visitée par des Objets volants inconnus pendant des mois. On voit tous les jours toutes sortes d'engins de toutes tailles et toutes formes, arrivant du nord, depuis le ciel voire sortant des eaux.

    Finalement, devant la menace tous les habitants évacuent l'ile.

     

    La Mort de Joao Prestes Filho. 

     

    Le second cas de mort consécutive que nous allons évoquer est due à une observation d’O.V.N.I. se situant également au Brésil. C’est, nous allons le voir, dans des conditions atroces qu’a péri, un Brésilien de 40 ans, du nom de Joao Prestes Filho : 

     

    (www.taverne-etrange.com/m/article-2047369.html)  

     

    A Aragariguama, petit bourg tranquille de l’État de Sao Paulo, un phénomène curieux alimente les conversations de ses habitants : pendant la nuit, des lumières étranges évoluent dans le ciel en décrivant par bonds des trajectoires irrégulières, au-dessus des monts et des bois de la région … En 1946, le jour du Mardi-Gras, Joao Prestes Filho et son ami Salvador dos Santos quittent tôt le matin le village pour une partie de pêche. Avant de partir, Joao a demandé à sa femme, qui devait emmener leurs fils aux divertissements du Carnaval, de laisser une des fenêtres de la maison entrebâillée pour lui permettre de rentrer. C’est vers 19 heures que les deux pêcheurs regagnent le village. Une heure plus tard, Prestes, l’air terrorisé, fait irruption dans la maison de sa sœur Maria et explique, en bredouillant, que lorsqu’il a tenté d’ouvrir la fenêtre de sa maison, un faisceau de lumière, venu d’on ne sait où, l’a atteint. La sœur de Joao appelle immédiatement les voisins. Parmi les personnes accourues, il y a Aracy Gomide, inspecteur fiscal de la préfecture de Sao Roque. Gomide, qui possède des connaissances médicales pratiques, a l’habitude de soigner les maladies bénignes de ses voisins. Principal témoin, celui-ci précisera plus tard que les yeux, les paupières et les sourcils de Joao, que ce dernier disait avoir protégés avec les mains, semblaient parfaitement normaux. De même, toujours selon Gomide, les parties couvertes par les vêtements ne présentaient aucune trace de brûlure.

     

    Peu de temps après, sur les parties touchées par la mystérieuse lumière, la peau commence à se rider comme si elle était restée plusieurs heures dans de l’eau bouillante. Puis les chairs apparaissent et semblent se décoller des os. La pointe du nez commence à se désagréger ; les dents inférieures sont mises à nu. Sur les pieds et les mains décharnés, les ongles ont totalement disparu. Seuls, le palais et la langue ne paraissent pas touchés, car Joao parle normalement. Chose incroyable mais vraie : à aucun moment, Joao ne ressent la moindre douleur. Puis, brusquement, en l’espace de deux heures, le corps du Brésilien achève de se désagréger : les os et les dents sont complètement à nu ; le nez et les oreilles se détachent et roulent au sol. Ses yeux sont écarquillés de terreur et, de sa bouche désarticulée et grotesque, s’échappent des sons inaudibles. Atterrés par ce spectacle atroce, les voisins chargent Joao sur une charrette qui doit l’emmener jusqu’à l’hôpital le plus proche. Mais le malheureux ne l’atteindra pas : il meurt en cours de route, six heures après l’agression du faisceau de lumière. Il n’y eut pas d’examen médical. Seul un certificat de décès, signé par les témoins, fut dressé. Et sur ce certificat, une mention unique, qui ne reflète guère la mort effroyable de Joao : « Mort par brûlures généralisées. » Les services de police locaux, alertés par les témoins, effectuent quelques recherches qui se révèlent négatives : aucune trace ne put être relevées, ni sur les lieux de l’agression, ni à l’intérieur de la maison où rien n’avait disparu.

     

    Pendant plusieurs jours, après les sombres évènements du Mardi-Gras, les habitants d’Aragariguama voient encore les mystérieuses lumières se livrer à des évolutions désordonnées dans le ciel…[réf aux ovnis qui tuent !] . Cf. OVNIS danger. Appel à la vigilance - Bob Pratt - Éditions Trajectoire (02/2010).

     

    [Vous voyez bien que les Rencontres Rapprochées ne sont pas toutes exclusivement ni virtuelles, ni "Mélioratives", pour les témoins !]

     

    N'ayez Pas Peur (de la vérité) !

     

    Selon la Tradition suivie par les Anciens, les Ancêtres et les Ainés de l'Orden de la Chevalerie les Rencontres Rapprochées et « Approchées », [plus ou moins bien !] par les ufologues, ne sont pas toutes du Type « précédent » mais, en tout, de « Trois Types » distincts et différents [et non pas du « Troisième Type » !] :

     

    1/ Les Rencontres Rapprochées Vraiment Involontaires [les RRVI] (dont les Témoins sont les Victimes Inconscientes ou les Cobayes Involontaires) :

     

    [Cf. Les exemples des RR Brésiliennes citées ci-avant !]

     

    2/ Les Rencontres Rapprochées Immatures [les RRI] (que les Témoins subissent et dont ils sont les Spectateurs, ou les Acteurs, "Non Préparés") :

     

    Cf. Ci-après   les RR3 de Warneton  de A . M . qui commencent comme les RR3 "classiques" :

    (Voir l'enquête détaillée de Jean-Marie Bigorne Chasseur d'Ovnis. Mémoires d'un enquêteur de terrain. Extraterrestres, Autocensures, Révélations, Éditions Le Temps Présent, Collection Énigma. 2014)

    ... quand, soudain, (pour la première fois) le 07 janvier 1974, les phares de son véhicule s'éteignirent et presque simultanément, après quelques ratés, le moteur s'arrêta. Puis la radio devint muette.

     

    Donc, toujours au volant de sa Citroën Ami 6, il rencontra  deux humanoïdes 1,30 m et 1,20 m [et un troisième genre « bidendum » resté en sentinelle près d'un objet inconnu, avec des lumières blanc orangé et posé sur trois pieds à terre] puis, le témoin ressenti un léger choc à l'arrière de la boîte crânienne, au niveau du cervelet, accompagné d'un son grave et modulé.

     

    Les êtres étaient alors à environ 4 mètre de la voiture ... de même, le 06 juin 1974 [bis repetita !], au même endroit, mêmes circonstances, même heure, avec les mêmes deux humanoïdes. De nouveau, il ressentit un petit choc derrière la tête avec le son modulé.

     

    Cela dura à peine deux à trois petites minutes, avant qu'ils disparaissent brutalement, comme « désintégrés » sur place, sans aucun bruit ou tout autre effet ! Quelques secondes après cette disparition  instantanée, la radio reprit son fonctionnement normal et sans qu'A-M. y mettre la main. Le moteur fut remis en marche sans difficulté, et il rentra chez lui, ébranlé par cette nouvelle rencontre.

     

    Signalons, dès à présent, que, dans ces premières RR 3 d'A-M. de Warneton, des informations ont été « réservées », comme bien d'autres, parce qu'elles ne cadraient pas avec la vision de l'hypothèse extraterrestres « écrous et boulons » [et souhaitée par la plupart ] !

    Notamment ce message, délivré mot à mot, débité mécaniquement par un son grave et monocorde. Il fut répété à deux reprises, entrecoupé du son modulé :

     

    « Allez - dire - que - nous - envahissons - la - terre ».

     

    Pour le deuxième acte, celui du 06 juin 1974, de nouveau un petit choc derrière la tête et un son modulé, qui s'arrête avant la délivrance d'un second message. Ce dernier paraît être la suite de l'entretien du 7 janvier :

     

    « Car - les - temps - sont - proches ».

     

    Interruption de quelques brèves secondes, sans son modulé, répétition identique du texte, suivi d'une courte période toujours sans modulation, puis disparation instantanée des deux entités. Le tout aurait duré à peine deux minutes.

     

    Mais, évidemment, ce n'est pas terminé pour les événements de cette aventure hors normes ... [qui n'ont pas été portés (évidemment) à la connaissance des ufologues jusqu'à la révélation de JMB].

     

    Le 18 novembre 1974, à Warneton, même heure, même endroit et ... mêmes événements et partenaires [mais aucune trace d'Ovni dans les environs]. Temps de l'affaire, encore deux à trois minutes : d'abord léger choc derrière la tête, modulation, puis un nouveau message mécaniquement, répété deux fois :

     

    « Ne - craignez - rien - nous - venons - en - paix » 

     

    Une fois le message transmis, modulation, et disparition instantanée. Il remit le moteur en marche sans difficulté et arriva un quart d'heure plus tard, profondément choqué, chez l'un des enquêteurs [ufologues !], pour témoigner de ce qu'il venait de lui arriver pour la troisième fois.

     

    Et cela continua ! Le 16 décembre 1974, il affirma aux enquêteurs, avoir été contacté le jour même, mentalement, télépathiquement, et rendez-vous lui aurait été donné pour la date « anniversaire » de son premier contact, selon le procédé déjà bien rodé :

     

    « Rendez - vous - le - 7 - janvier - 1975 ».

     

    Ils décidèrent alors d'aller, jusqu'au bout, en mettant au point une sorte d'embuscade, afin de cerner au mieux le phénomène.

     

    Puis vers 10 heures 10, alors qu'ils bavardaient amicalement, A-M qui était assis sur une chaise en face de l'enquêteur, s'arrêta brutalement de parler, son regard devint fixe, sa respiration s'accéléra et se fit difficile.

     

    Ce dernier tenta de lui parler, sans le brusquer, mais il semblait ne pas entendre. Puis, quelques instants après, il reprit ses esprits et regarda l'enquêteur avec ahurissement, mais avec la respiration toujours oppressée et difficile.

     

    Il parvint enfin à s'exprimer :

     

    « Je viens de voir le plus petit, le bibendum, là derrière vous et il m'a transmis – A bientôt – et a disparu ! ».

     

    Le soir, l'embuscade programmée, au lieu de Rencontre habituel, se mit en place …

     

    … au fur et à mesure qu'ils approchaient de l'endroit prévu, de nouveau la respiration du témoin devint progressivement difficile ... Puis il s'exclama :

     

    « Ils sont là, je le sens ! » … Plus loin : " Ils sont là, je les vois ! » … Le témoin toujours très agité cria : « Ils sont là ... Ils sont là ! ".

     

    L'enquêteur allant à l'endroit indiqué, ne vit toujours rien et appela ses deux collègues dissimulés dans les parages : et ils découvrirent le témoin affalé sur son volant, pratiquement sans connaissance, la respiration à peine perceptible, et tous les trois assistèrent au « réveil » du témoin, aussi perturbé et ahuri que lors de la séance à son domicile.

     

    « Je les ai vus ? Ils étaient là ! S'écria-t-il … et, ils ont dit qu'étant donné que mes supérieurs [les ufologues ? !] étaient là, ils ne pouvaient pas me délivrer le message, et ont disparu aussitôt !

     

    De retour à son domicile, au bord des larmes, il dit aux enquêteurs :

     

    « Mais alors, si je vois des choses que vous ne voyez pas, je suis fou... ! ».

     

    Quelques temps après le témoin fut soumis par deux thérapeutes à une régression hypnotique où il revécu sa rencontre du 7 janvier 1974, comme s'il revivait l'événement, il était extrêmement tendu, avec parfois d'importants accès de terreur. Devant la persistance de ces états, il fut décidé de stopper la séance afin d'éviter tout problème de santé physique ou mentale. Il était alors en larmes.

     

    Conclusion des thérapeutes : il leur apparut que le témoin avait bien vécu un événement traumatisant – mais dans quel plan ? Il en avait été tellement bouleversé et commotionné qu'il s'avérait souhaitable de ne pas raviver trop vite ces souvenirs pénibles.

     

    Après publication du texte classique [genre RR3 tronquée !] dans les revues ufologiques spécialisées, des éléments restés confidentiels [sur cette affaire] avaient été révélés à des personnes suffisamment "avancées (!)" dans les arcanes de l'ufologie : Aimé Michel, Pierre Guérin, Jacques Vallée et quelques autres. Plusieurs donnèrent leur sentiment personnel sur cette affaire qui posait déjà un gros problème pour l'évolution de l'ufologie [« Tôle et boulons » et autres !] Certaines préférèrent ne pas réagir.

     

    [C'est comme ça que s'écrit,  la fausse histoire ... et qu'on viole tous les jours, la « Vérité » !] ...

     

    [Vous voyez bien que les RR3 ne sont pas toutes, exclusivement, « physiques » mais, aussi, inclusivement « psychiques » !]

     

    [Sur ces dimenssions déroutantes des RR ufologiques (du moins pour certains !) voir les travaux d’Ann Druffel (qui ont été "quizzés" !) et les livres de Jean Sider et de Fabrice Bonvin. Cf. aussi, l'article du blog de l'Orden de Chevalerie intitulé : La Lunatic Fringe.]

     

    3/ Les Rencontres Rapprochées de Proximité [les RRP] (dont les Témoins ont la « Maturité » requise pour en devenir les Acteurs) …

     

    [Voir ci-après pour les illustrées, la RR1, de Salida, Colorado, observée par Tim Edwards, 42 ans, le 27 août 1995 :]

     

    « Papa, il y a quelque chose dans le ciel ! » 

     

    Il est 09heures 25, sa fille, Brandy, 06 ans, lève les yeux pour fixer les rayons du soleil.

     

    « Papa, il y a quelque chose dans le ciel ! », signale Brandy à son père, qui n'y prête pas attention. Mais, devant l'insistance de sa fille, il se résout à suivre le regard de Brandy, qui pointe une portion céleste du doigt. Il reste planté sur place, pétrifié.

     

    Quel est donc cet objet, dansant et reflétant la lumière du soleil ? Edwards se rue sur le téléphone pour avertir ses amis et connaissances.

     

    C'est alors qu'il songe à son caméscope 8 mm : il filme 6 minutes 30 d'une incroyable scène, à savoir les évolutions silencieuses d'un énorme cigare volant aux impossibles manœuvres.

     

    Georges, le père de Tim, le rejoint et, muni de jumelles, observe deux rangées de lumière clignotantes sur l'engin. Il remarque également de petites sphères qui virevoltent, entrent et sortent de l'immense cigare. C'est, enfin, au tour de Laray, 15 ans, l'aînée des filles de Edwards, de se joindre au trio pour contempler l'étrange spectacle.

     

    Évoluant dans la haute atmosphère, l'engin échappe - par instants - au cadrage du caméscope. Sur la bande-son, on peut entendre Edwards s'exclamer :

     

    « Ce truc est capable de franchir une centaine de kilomètres en l'espace de quelques secondes ! [Certains de ses déplacements ont atteint 15.000 km/h] ».

     

    Au bout d'une heure 15 de spectacle, l'engin disparaît comme il est venu. Bouleversé, Edwards s'engouffre dans sa maison, contacte les employés de son restaurant : ont-ils, eux aussi, pu observer l'Ovni ?

     

    En fait, il alerte, tout le monde, presse, radio, bureau du sheriff, centrale ufologique :

     

    « Cet objet était si grand [il a été estimé à 750 mètres de long] que s'il avait atterri, il aurait recouvert toute la ville de Salida » rapporte Edwards » …

     

    « C'était si étrange ... Je suis convaincu que cet engin n'est pas issu de notre planète. Je sais que cela semble dingue, mais je pense vraiment qu'il provient d'un autre monde ».

     

    … Si bien que 23 individus finissent par rapporter l'observation d'un engin identique.

     

    « Maintenant, avec les dizaines de témoins de Salida, sans compter ceux avec lesquels j'ai discuté au téléphone, qui se trouvaient parfois à des centaines voire des milliers de kilomètres de Salida, il n'est plus question de nier que quelque chose d'étrange se trouvait dans le ciel » s'exclama Edwards, enthousiasmé par la découverte de tous ces témoins.

     

    Edwards consacre toute son énergie, son temps libre et ses ressources financières à comprendre son observation. Ses anciennes passions - la pêche ou la randonnée - appartiennent désormais au passé.

     

    « Depuis août 1995, je consacre tout mon temps libre à étudier ce sujet, à informer le public. Mon implication est telle que j'ai perdu de mon intimité, mais, en contrepartie, j'ai rencontré des gens merveilleux » a-t-il expliqué un jour.

     

    « En observant l'Ovni, un raz de marée émotionnel me saisit, l'impression que la science et l'histoire se rencontraient sous mes yeux, que cet engin était conscient de notre présence et voulait se faire filmer. Le but de cet Ovni est d'envoyer un message au monde, de lui dire qu'il est important que l'humanité connaisse la vérité » explique Edwards.

     

    Edwards se sent depuis son observation, investi d'une mission : révéler la présence » extraterrestre » au plus grand nombre, et se plonge, corps et âme dans le monde des Ovnis, car il la ressent au plus profond de son être : il est convaincu d'avoir été « choisi » pour faire éclater la vérité.

     

    L'excitation des premiers jours prend l'allure d'une obsession. Une foule de questions de nature scientifique, spirituelle, philosophique se bousculent dans son esprit, en quête d'improbables réponses. Et c'est ici, l'aboutissement de la métamorphose spirituelle initiée par l'observation de l'Ovni. C'est un sentiment étrange, diffus et irrésistible. Désormais, chaque seconde, chaque minute porte l'empreinte de cette mission dont l'importance prend des proportions démesurées. … Car elle revêt une forme sacrée, spirituelle et impossible à communiquer …

     

    « Je pense que quelque chose de spirituellement important est en train de se produire. Je suis désorienté ... Une conscience cosmique s'active pour diriger l'humanité dans la bonne direction » relate-t-il le 27 septembre ...

     

    Bref, en l'espace d'un mois, la vie de ce restaurateur tranquille et prospère bascule complètement ... Vers une ouverture sur le monde qu'il n'a jamais connue, une vie spirituelle exaltée, une façon de voir et de concevoir le monde radicalement transformée.

     

    « Avant l'observation, les Ovnis ne m’intéressaient pas. Mais quand un tel événement survient, votre vie se transforme à jamais », met-il en garde. « C'était un moment intense et stressant, mais je ne me suis jamais senti aussi heureux. Je suis honoré de ce qui se passe ».

     

    [Cf. ovnis les agents du changement. Le Temps Présent. 2014. Fabrice Bonvin,  et Fabrice Bonvin de préciser : Tim Edwards n'est pas seul : « son cas ne constitue pas une exception mais plutôt une généralité ». En contact avec l'intelligence supra-terrestre, nombreux sont les témoins qui embrassent une nouvelle façon de voir le monde et développent une conscience élargie de la place et du rôle de l'homme dans la création ...]

     

    [Ce changement ontologique et cette métamorphose, sont les « signaux » de ce que la Tradition Chevaleresque appelle une Métanoïa]

     

    [Le terme grec Métanoïa est composé de la préposition (ce qui dépasse, englobe, met au-dessus) et du verbe (percevoir, penser), et signifie "changement de vue", un "renversement de la pensée". Et "Dans la Grèce antique, la métanoïa signifiait une mutation, un changement fondamental, une véritable conversion. Métamorphose exprime plutôt un changement au niveau de la forme. Métanoïa exprime, plus précisément, un changement d'état d'esprit."

     

    La psychologie, utilise ce terme dans sa conception du processus d’individuation pour désigner une transformation de forces inconscientes. Il s’agit d’une transformation complète de la personne, transformation qui ressemble beaucoup à celle qui se passe à l’intérieur d’une chrysalide."] [Wilkipédia]

     

    [Vous voyez bien que les RR, tout en étant « physiques » ne sont pas toutes "Péjoratives" et peuvent avoir, aussi, inclusivement, une portée « spirituelle » !]

     

    En résumé :

     

    Ces « Trois Types » distincts et différents de « Rencontres Rapprochées » s'apparentent, directement, par reflets, à ce que les textes sacrés appellent des « Expériences Transcendantes » :

     

    Et c'est ce que la Tradition de l'Orden de Chevalerie définit comme les « épreuves » des Trois Voies [de l'Initiation !] qui mènent soit à la Mort, à la Folie ou à l'Illumination.

     

    Elles sont différentes et distinctes, mais elles se déroulent toutes, sur la « Franche » où les « Mondes de l'Infra et du Supra » se rencontrent dans notre « Beau Monde », et aussi sur le « Champ [qui est celui du Blason Héraldique !] de Bataille » de la « Guerre des Mondes » …

     

    Dans cette perspective :

     

    1/ Les RRVI, correspondent à ce que les « néo-platoniciens » …

     

    [Cf. La très prudente et timide approche [ou enquête] mais cependant « très louable ! » tentative, mise à la portée « intellectuelle et conceptuelle » des « Grands Initiés du Dimanche » (et de certains "fidèles" et pseudos ufologues du même jour ! ) à partir d'un film, réalisé sur l'origine du véritable : « Jeu Pédagogique et Mnémotechnique » du « Tarot », dit de « Marseille », mais en fait de « Marsile » Ficin, selon la thèse présentée par Philippe Truffault et par Christophe Poncet]

     

    … appellent : le « Plan » du vécu de la « Terra Vehiculum » auquel on ne peut pas échapper ...

     

    [comme, du reste, le signifie, clairement, "l'Enquerre" de l'immobilisation forcée des véhicules, et celle, de la « Paralysie » physique et sélective des témoins qui restent, cependant, conscients et en capacité de « voir » ! (Cf. L’article du blog de l'Orden de Chevalerie intitulé : Les Enquerres Ufologiques)]

     

    ... et qui conduit au « Mât » ; c'est celui, où les RR, mènent à la « Mort » [Physique, Pychique ou Spirituelle !] …

     

    [Cf. Les exemples des RR Brésiliennes citées ci-avant !]

     

    2/ Les RRI, correspondent à ce que les « néo-platoniciens » appellent le « Plan » du vécu des « Illusions », celui qui conduit « le Cavalier » au « jeu des épreuves », qu'il faut surmonter, pour progresser et s'élever...

     

    [Cf. Les épreuves auxquelles sont soumis les Chevaliers de la Queste du Saint Graal !]

     

    …. par le discernement, et au « Jugement » qui lui permet de se libérer, ou au contraire, de s'enfermer comme le « Fôl » dans la prison des « Simulacres» [qu'ils soient terrestres ou extraterrestres !]

     

    [et en particulier dans le « labyrinthe » de la « douce » musique, fascinante et irrésistible, des plaisirs des sens qui, lorsqu'ils deviennent excessifs, exclusifs et donc envoûtants, pourrait bien, comme le célèbre joueur de « flûte » (qui est au service exclusif de son "Seigneur et Maître" : la « dialectique matérialiste »), nous entraîner fatalement, à notre perte ou à notre perdition, [cas typique des RR3 et RR4 et + que semblent préfigurer les « Transes », de A-M. lors de ses RR3,  à Warnetonde !]

     

    … et même jusqu'à la fameuse « Prison Psychique », du « Chariot de l’Âme » de l'Académie Néo-Platonicienne de Marsile Ficin, qui y est entrainé par « le cheval de l'animus descendant »

     

    3/ Les RRP, correspondent à ce que l'Académie de Marsile Ficin appelaient aussi le « Plan » du vécu des « Bien-faits » [ou "Bien-nés" au "Monde" celui des "4 Vivants" ou Tetramorphes] ; celui qui conduit le « Pèlerin de l’Âme », sur le chemin de la « Justice de la Vérité », et où, le « Chariot de l’Âme » de l'Académie Néo-Platonicienne de Marsile Ficin est entrainé par « le cheval de l'anima ascendant », qui conduirait jusqu'à la « Libération » et la Maîtrise Totale des Quatre Éléments constitutifs de l'Univers ! [Voie que semble « emprunter » Tim Edwards, depuis sa RR1 à Salida, le 27 août 1995]

     

    Comment se prémunir d'une Rencontre (Vraiment !) Trop Rapprochée ?

     

    En la devançant !

     

    Car, d'une manière ou d'une autre [ou dans un sens comme de l'autre !] on ne peut pas y échapper, et que nous devons tous : " y Passer " [un jour !]

     

    C'est pour cela qu'il faut [ou "Faux" celle de l'Ankou !] s'y préparer du mieux possible [en allant à sa rencontre !] et en prenant les devants - avant !

     

    C'est précisément ce que la science héraldique et l'art du blason appelle une « Rencontre » (Rendre-compte) [autrement dire : l’Éveil de la prise de Conscience !] [du Type 1 à 7 !].

     

    C’est-à-dire en l'affrontant directement, et en lui faisant face ...

     

    Tant il est vrai aussi que, pour échapper « à ses démons », et se libérer, au mieux, de leurs emprises, il est toujours préférable de les affronter directement ! [à condition d'y être suffisamment préparé ou armé ...]

     

    L’éveil n'est-il pas le meilleur remède pour dissiper un cauchemar et évanouir ses terreurs ?

     

    Nous disposons donc [toujours] du choix [ou du libre arbitre !]

     

    Soit :

     

    Nous nous soumettons à la « Diabolophanie »

    [de diable « diabállô » =  signifiant « celui qui divise » ou « qui désunit » ou encore « qui détruit », et de phan, « apparition, révélation ou manifestation » = ce qui crée  le cahos ]

     

    et nous prenons alors le risque  :

     

    de nous diluer, et de nous disperser, ou de nous égarer dans la « Gaste Forêt » des existences superficielles et illusoires, et donc de nous diviser en nous coupant de notre propre totalité [et intégrité ] de Corps, d'Âme, mais aussi, d'Esprit !

     

    ... et de "succomber", alors, à la facilité et à l’indolence, en baissant « notre garde » [notre sauve-garde !], jusqu'au degré extrême de la soumission, de la fausse existence par procuration et jusqu'à la dépendance...

     

    Soit :

     

    Nous optons pour l'ouverture à nos « Théophanies », celle de la « Libération » par l'accomplissement physique, la réalisation psychique et la révélation spirituelle de la mise à jour de notre « Apocalypse » [ou de notre « Initiation ou Ré-Initialisation »] par l'oeuvre illimitée de notre « Remise en « Queste...tion » ou "re-nouvellement/rénovation" [ou Céphalophorie !], et donc pour notre "mélioration" perpétuelle …

     

    Dés lors, nul doute,  que notre meilleur « Sauve-Conduit ! » réside dans la voie de « l'Equophanie »,

     

    [« equo » =  cheval, et de phan, « apparition, révélation ou manifestation » = la quête de la réalisation]

     

    ... celle qui permet de nous « Temps...Pot...Iriser » - par la pratique et l’exercice - des vertus qui sont exigées par la « Voie Royale » ou « Queste du Saint Graal ! ».

     

    Et, in fine, pour nous « assurer » [le mieux !], et le meilleur passage, progressif et harmonieux, entre nos « Diabolophanies » et jusqu'à nos « Théophanies », avec l'armement :

     

    1/ des douze vertus chevaleresques que sont : Le Courage, la Puissance, le Partage, la Génération, la Souveraineté, la Créativité, l’Équilibre, la Fermeté, la Volonté, la Persévérance, l’Altruisme, l’Empathie …

     

    2/ des quatre vertus cardinales du Pouvoir Royal que sont : la Force, la Tempérance, la Justice et la Prudence … 

     

    3/ et les trois vertus théologales de l’Autorité Royale que sont : la Foi, la Charité et l’Espérance  

     

    [Cf. La série des articles du blog de l'Orden de Chevalerie intitulés : Exercices pratiques héraldiques]

     

    En "Divine...et...Yves" … vous voyez bien que la « Queste du Saint Graal », des Chevaliers de la Table Ronde du Roy Arthur n'est pas : qu'une « Œuvre Romanesque » …

     

    [Écrite en langue Romane ou langage courant pratiqué à l'époque, c'est à dire accessible à tous !]

     

    … mais une « réalité » toujours présente et toujours vivante [ au même titre que les RR 1 jusqu'aux RR 7 ! ] bien « tangible », et adaptée aussi à notre Temps !

     

    [ Suivez-la … et « L'Ove-Nid » ...

    ... S . O . S . (Save Our Souls ) ... 

    Sauvera Vos Âmes ! ]

     

     

    L'Ove...Nid

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    « C'est lui qui change les temps et les circonstances, qui renverse et qui établit les rois, qui donne la sagesse aux sages et la science à ceux qui ont de l'intelligence. Il révèle ce qui est profond et caché, il connaît ce qui est dans les ténèbres, et la lumière demeure avec lui. Dieu de mes pères, je te glorifie et je te loue de ce que tu m'as donné la sagesse et la force, et de ce que tu m'as fait connaître ce que nous t'avons demandé, de ce que tu nous as révélé le secret du roi. »

    [Daniel 2.21.23]

     

    Les Trois Mondes

     

    L'Omerta 

     

    Comme le souligne Jean-Marie Bigorne (Cf. Chasseur d'Ovnis. Mémoires d'un enquêteur de terrain. Extraterrestres, Autocensures, Révélations, Éditions Le Temps Présent, Collection Énigma. 2014)  

     

    « La création du Gepan en 1977, et ses transformations (Sepra en 1988) pour aboutir à l'actuel Geipan, n'avait pas pour finalité réelle l'étude scientifique complète d'un phénomène atypique avec la possibilité d'implications exotiques. Mais plutôt un contrôle sociétal, un suivi des médias, une utilité de vigie pour la défense de l’État, et des intérêts économiques, stratégiques, et mêmes philosophiques, de la nation » 

     

    « Quant à ce qui reste non identifiable, ce n'est plus de leur ressort. A la science multidisciplinaire, d'agir... Or, cette dernière ignore obstinément et dédaigneusement cet embarrassant fardeau... » 

     

    « En fait, on peut parler d'un déni institutionnel, d'une sorte d'omerta à l'échelle planétaire. »

    « Ignorance volontaire et aveu d'impuissance ? »

     

    « Nous pensons que cela peut s'avérer grave pour l'avenir. » 

     

    « Chez nous [en France !] la déesse Raison règne toujours sans partage et refuse toute concession trop brutale à l'évolution vers l'univers ! »

     

    « Il faut avancer avec son temps et l'évolution générale. Après la physique classique newtonienne et la physique relativiste einsteinienne, arrive la physique quantique, révolutionnaire et difficile à appréhender par nos cerveaux nourris de cartésianisme et de rationalité traditionnelle et séculaire. Tout serait alors à revoir ? Surtout au sujet de la seule matérialité envisagée, connue et constatée, des choses... [et avérées, qui, pour les ufologues classiques est le point de vue qui compte pour permettre une avancée scientifique.] » 

     

    « Précisons cependant que les ufologues nord américains ont aussi pratiqué la rétention des informations les plus bizarres. Cela existait déjà dans des associations comme le Mufon, l'Apro, et le Cufos. Par la plume d'un enquêteur du Connecticut, P. Imbrogno, qui avait collaboré avec le Dr J. A. Hynek, nous avons appris que ce dernier lui avait demandé de ne pas publier les cas les plus sensationnels avec un haut niveau d'étrangeté, des prétentions de contacts avec non seulement une intelligence extraterrestre, mais aussi avec des démons, des djinns et autres êtres d'autres dimensions. Il pensait que les rapports nuiraient à la crédibilité des informations et des enquêtes concernant la possibilité de manifestations extraterrestres. » 

     

    « Chez nous l'ufologie n'a pas suffisamment progressé, non-seulement du fait de sa propre censure d'informations très particulières, mais aussi parce qu'elle n'a pas trouvé l'aide et les moyens pour exploiter l'ensemble de ses découvertes. Et surtout, pour avoir toujours subi le dénigrement et le désaveu des états, des élites, et de tous ceux qui les suivent. » 

     

     Les Chasseurs d'Ovnis 

     

    Jean-Marie Bigorne ...

     

    [qui est l'un de ces chercheurs passionnés, depuis plus de quarante ans, et qui appartient à cette race des « dinosaures » de l'ufologie, et des enquêteurs de terrain, malheureusement, en voie de disparition !]

     

    ... pense, à juste titre, qu'il subsiste une lacune dans les différentes possibilités de classification du Geipan :

     

    « celle des phénomènes suggérant de possibles manifestations d’Intelligences Non Humaines (INH) »

     

    ou « Éventualité d'Intrusion Exotique » ou « Possible Incursion d'INH »

     

    « ... Des phénomènes aérospatiaux non identifiés affichant des technologies hyper-avancées existent. Une partie de l'humanité en a pris conscience. Derrière cela se manifestent vraisemblablement des intelligences non humaines (INH) ...

    [et pas exclusivement extraterrestres, comme le fait remarquer avec insistance JMB !],

    ... ou peut-être des intelligences artificielles (IA), ou les deux à la fois. Ou autre chose encore ! » 

     

    Et en cela, JMB rejoint très précisément ce que nous révèle la Tradition de l'Orden de Chevalerie, avec la théorie de l'interdépendance des Mondes, en lien avec les Forces Invasives et inter-communicatives du Continuum Espace-Temps. 

     

     La Cryptophanie du Continuum 

     

    Cryptophanie : du grec ancien kruptós « couvert, caché » et phan, « apparition, révélation ou manifestation » = qui révèle ce qui est caché]

     

    La palette des « Manifestations » ou des « Apparitions » dites ufologiques reflètent indéniablement un ensemble de phénomènes, non ou mal-identifiés, qui révèlent l'existence des puissances ou des forces, d'un continuum espace-temps, qui se croisent et s’entremêlent à la frange de notre Monde.

     

    Par conséquent, et comme le préconise avec pragmatisme, lucidité et pertinence Jean-Marie Bigorne, nous aurions avantage [et grand intérêt !] à élargir rapidement notre vision au panorama de toutes ces « intelligences », qui, sous une forme ou une autre, se signalent à nous, et dont les « natures » [tant matérielles qu'immatérielles] ont des origines multiples, et très diversifiées, et qui "couvrent tout le spectre" allant :

     

    des rencontres « très rapprochées » purement extraterrestres,

     

    [Cf. Les partisans de la Théorie des Anciens Astronautes de Von Däniken Erich. 1969. Présence des extra-terrestres Titre original : Erinnerungen an die Zukunft (Souvenir du futur), 1968.],

     

    aux voyageurs temporels,

     

    [Cf. Jean-Pierre D’Hondt autre chasseur d’ovnis],

     

    à ceux de l'anti-monde,

     

    [Cf. Extraterrestres... viennent-ils de l'anti-monde ? De F. Kircher & D. Becker]

     

    en passant par les « Mondes Intermédiaires dits Para-Normaux » et autres "systèmes de contrôle"

     

    [Cf. Pierre Vieroudy « Ces Ovni Qui Annoncent Le Surhomme », et Michel Moutet et la revue « Parasciences », et Jacques Vallées Confrontations. Un scientifique à la recherche du contact avec un autre monde, et Jean Sider La Grande Mystification. 1/. Mimétisme et Polymorphisme du Phénomène Ovni. 2/. Des Forces Intelligentes Inconnues ?, et Fabrice Bonvin. Ovnis Les Agents du Changement.]

     

    et jusqu'aux véritables Théophanies.

     

    [qui sont généralement confondues avec certaines fausses « apparitions religieuses » qui, elles, sont des ingérences malveillantes et mimétiques de ce que la Tradition des Anciens, des Ancêtres et des Ainés de l'Orden de Chevalerie appelle « l'Infra-Monde ».] 

     

     Un Univers Impitoyable 

     

    Dans cet « Univers Impitoyable », où le « Réalisme Fantastique »,

    [Cf. « Le matin des Magiciens » de Jacques Bergier et de Louis Pauwels]

     

    nous paraît, "incohérent" ou « absurde » simplement parce que nous sommes [en grande partie] désarmés, face, à son mode « d'interpolation » métaphorique, [de tout ce qui va au delà de la forme apparente] qui nous "désarçonne", et dont la portée réelle nous échappe le plus souvent,

     

    et c'est pour cela que la Cryptophanie représente sans aucune doute, ici, une clef majeure pour nous donner accès à sa grille de lecture, à son « écriture imagée », et à son « langage » à la fois hiéroglyphique, archétypal et « symbolique », et à son « expression » souvent de types onirique et analogique.

     

    Le Cerveau Mammalien

     

     L'Effet-Miroir 

     

    Comme le remarquent, en effet, Dominique Becker et Fabrice Kircher [théoriciens de "l'Anti-Monde Ufologique"]

     

    [Cf. Mimétisme et Crashes d'Ovnis Editions Le temps Présent, Collection Enigma. 2013]

     

    un certain nombre d'apparitions de types ufologiques nous renvoie, aussi, notre propre image [souvent inversée] par mimétisme ou par imitation, et comme des « enseignes » ou des "avertissements" de nos propres dérives, citons par exemple « l’Insistance Récurrente » des "modèles d'ufonautes" qui reproduisent sous leurs formes extérieures : reptilienne, simiesque et hominienne : la trilogie [ou tri-unité] fonctionnelle "intérieure" des cerveaux reptilien, mammalien et hominien de l'homo-sapiens actuel.

     

    Le Cerveau Reptilien

     

    C'est en ce sens [qu'elle nous est indispensable] la Clef de la Cryptophanie, car elle nous entrouve la grille de lecture de ce « Continuum Quantique » :

     

    1/ en nous dévoilant l'encodage de sa « Méta-Logique »

     

    2/ et en nous ouvrant, par la même occurrence, les portes de notre propre « A-Venir ». 

     

     [citons  enfin, cet autre exemple particulièrement signifiant du célèbre ufonaute du "modèle" "Bibendum",

     

    (Bibendum est l'image de marque de la manufacture française des pneumatiques Michelin. Au Canada  comme en France, on l'appelle aussi le « Bonhomme Michelin ». Cet emblème publicitaire des pneumatiques de la marque Michelin a aussi pour devises  "Nunc est bibendum" « C’est maintenant qu’il faut boire ! » et « Michelin, le pneu qui boit l'obstacle ! ». Signalons que dans la "langue" des "oiseaux ou des volatiles ou de l'esprit ou des anges ou des étoiles" Michelin se lit : "Ce qui est à "mi-chemin" entendu que Michelin est le "petit Michel" dont l'étymologie signifie "Qui est comme Dieu ?", et que dans cette même langue la devise : « C’est maintenant qu’il faut boire ! » se lit : " C’est maintenant qu’il faut voir ! "; ce slogan publicitaire étant emprunté originellement à celui d'un projet d'affiche pour une brasserie qui montrait une "momie" brandissant une chope de bière, rappelons ici que la "mise en bière" signifie placer le corps du défunt à l'intérieur du cercueil : tout un programme ! Source Wilkipédia)

     

    qui est une autre « image-miroir » qui nous interpelle, car elle est une représentation syncrétique, et un signal : fort, et très expressif, de notre futur probable « d'Homme Moderne »« momifié et robotisé », étant donné que le « Bibendum » est une de nos représentations directes, et le renvoi parlant de "l'Homme Pneumatique" (de l'Homo Spiritus) "pneuma" signifiant en grec  "le soufle, la respiration ou l'esprit" ;

     

    autrement dit, à chaque occasion de ses "Rencontres Très Rapprochées", l'ufonaute "Bibendum" nous délivre, constamment, le "message" de vigilance ("Vigile...Lance") suivant :

     

    « Faites donc attention ou prenez garde, car l'Homme Véritable (corps, âme et esprit), est actuellement enfermé dans le carcant, mécanisé et mortifère, de la société artificiellement laïcisée, et de consommation hyper-matérialiste, où la loi dominante est le "profit" unique et absolu, qui le déshumanise insidieusement, en le déspiritualisant progressivement et méthodiquement ! »]

     

    L'Homo-Bibendum

     

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  •  « Des loups féroces se glisseront parmi vous, et ils seront sans pitié pour le troupeau. De vos propres rangs surgiront des hommes qui emploieront un langage mensonger pour se faire des disciples. Soyez donc vigilants ! »

     

    (Actes 20.29 )

     

    L'A...MASK

     

     

    Même si …

    ... il est manifeste que « l'Infra-Monde » exerce de plus en plus son pouvoir de « Démon...Nid...Action » [invasive] sur les populations (à risques)

     

    Afin de susciter le "Chaos" [K.Os = Khronos des Os ou Oz !] (dont ses représentants se repaissent) par les prises de possessions (des corps, des âmes et des esprits) et qui exacerbent les comportements primaires, instinctifs, agressifs (et meurtriers).

     

    Et dont les « apparitions » sont assimilées à tort [et "à travers" !] (ou se confondent souvent) avec la perception de certains phénomènes « dits Ovnis » [d'autant qu'elles se calquent sur eux par "mimétisme"] 

     

    [comme le montre nettement le lien évident entre les deux cartes, ci-joint, qui révèlent une corrélation directe entre : la répartition de la « densité » géographique des « délits de violences aux personnes» et de celle des « Pans » pour la France Métropolitaine]

     

    Carte des violences aux personnes

     

    Carte des PANS

     

     

    Donc ... même si ...

    comme le disait Jacques Bergier [le champion du "Réalisme Fantastique" !]  avec "l'Esprit de l'Ironie" et contre "la Concritude de l'Ignorance", et afin de dénoncer l'action de "l'In-Terror", certains "Ovnis" sont bien des "hallucinations collectives" provoquées par des extraterrestres !

     

    ... il y a cependant ...

    un Type « d'apparitions » ufologiques où l'Alien, comme pur produit de la « Génération Lucy...Férienne » [Lucy...Faite...Reine !], nous montre son vrai visage !

     

    [Attention ! les Âmes sensibles s'abstenir !] 

     

     A Bas les Masks 

     

    Voici donc les récits deux Rencontres Rapprochées de ce Type que nous avons extrait directement du dossier des « RR3 Rencontres du Troisième Type en France »

     

    [de Julien Gonzalez. Collection : Énigma. Éditions Le temps Présent. 2014]

     

    Près de Gorbio (ou de Menton), Alpes-Maritimes, printemps 1954, 02h40.

    M. Lorenzi.

     

    Le témoin rentre chez lui à pied, par un petit sentier. Soudain, il entend des bruits « métalliques » et pense qu'il s'agit de personnes occupées à « bricoler ». Puis il entend des bruits de voix. Au détour d'un petit escalier, il tombe net sur un engin lumineux posé au sol, de 5 à 6 m de diamètre, A côté se trouve un être d'environ 1,60 de haut, mince, harmonieux, revêtu d'une combinaison phosphorescente avec, devant le visage, un voile troué de deux orifices pour les yeux. L'humanoïde a eu un mouvement de surprise en apercevant le témoin, puis il a prononcé quelques mots dans une langue inconnue, gutturale... C'est alors que le témoin aperçoit sous l'engin un second personnage, occupé à une tâche mystérieuse, et qui se redresse vivement. Il visualise le témoin, et d'un geste assez lourd, il porte les mains sur son ventre, sur une boîte noire d'où jaillit un rayon lumineux. Instantanément, le témoin se sent paralysé, et cette paralysie augmente en même temps que l'intensité du rayon de lumière « solide ». Le témoin ne peut plus bouger, mais il continue à voir et à entendre. Le second personnage est plus petit que le premier, ses proportions sont moins harmonieuses, la tête est plus grosse. Il est habillé de la même manière. Le « N°2 » dit quelque chose de très court au « N°1 » et s'approche du témoin. Les deux êtres échangent de nouveau quelques mots. 

     

     A Visage Découvert 

     

    Le « N°2 » semble plus détendu après avoir constaté l'état du témoin, s'approche à environ 60 cm de sa tête et brusquement, relève son voile avec la main gauche, en levant la tête vers le témoin, de manière, semble-t-il, que ce dernier puisse voir parfaitement son visage. Celui-ci sera décrit de la manière suivante : Front très haut et très large. Pommettes saillantes, menton pointu et assez fort. Nez très fin et en bec d'aigle, lèvres minces. Dents blanches et régulières. Barbe clairsemée sur la pommette droite. Peau de couleur assez foncée. Les yeux sont légèrement plus écartés que sur un visage normal, vraisemblablement avec des paupières. La forme ne diffère pas tellement des yeux normaux, peut-être un léger type Asiatique. Ils étaient plus gros et globuleux.

     

    Dans un premier temps, il a semblé au témoin que le personnage n'avait pas d'yeux, simplement des trous dans les orbites, puis il a perçu dans l'orbite gauche un globe blanc, sans iris ni pupille. De cet œil gauche coulait une grosse larme d'un liquide épais et brun, qui descendait jusqu'à la commissure des lèvres. Était-ce cela que l'être tenait à lui montrer ? Nous n'en saurons jamais rien... L'être a lâché son voile qui est retombé sur son visage et, avec ses bras, à deux reprises différentes, il a fait des gestes éloquents, comme s'il incitait le témoin à le suivre, à ce moment, le « N°1 » qui paraissait le chef est intervenu et le « N°2 » s'est calmé instantanément. Les deux êtres se sont alors retournés et se sont dirigés tranquillement vers l'appareil sur lequel ils sont montés, sur le dessus, non sans difficultés, en s'aidant mutuellement, l'un poussant l'autre, le premier grimpé tirant l'autre. Le témoin les a vus disparaître dans l'engin sans qu'il puisse préciser où, il n'a remarqué aucune ouverture bien qu'il ait entendu un bruit sourd de fermeture métallique, Puis il a perdu connaissance... 

     

    (Enquête de Jean Chasseigne, 18 ans après les faits, publiée dans Lumières Dans La Nuit n°126 pages 8 - 10 ; Fernand Lagarde, Mystérieuses Soucoupes Volantes pages 136 - 137 + Interview en février 1976 par P. Bellemarre (émission C.Q.F.D.) au micro d'Europe n°1 qui donne 22h00 au lieu de 02h40.) (Fernand Lagarde, Mystérieuses Soucoupes Volantes pages 136 - 137)

     

    Un cas de RR3 au scénario quasi-identique nous est parvenu du Canada suite à une enquête réalisée par l'ufologue Jean Ferguson. Voici le récit complet publié en 1978 dans un livre « Les humanoïdes, les cerveaux qui dirigent les soucoupes volantes » (page 241 - 244) :

     

    « Date : Début de l'été 1950. Heure / entre 1 heure et 2 heures du matin. Lieu : Vassan, village rural de l'Abitibi, à peu de distance de Val-d'Or.

     

    M. L. B. revenait chez lui après avoir passé la soirée à jouer aux cartes avec ses voisins. Il faisait beau, le temps était clair. Le témoin marchait sur la route en terre battue quand il a aperçu, près d'une grange abandonnée depuis peu, une lumière. En même temps, il a entendu des bruits qu'il a pensé être d'origine métallique. Il s'est demandé s'il était prudent se s'approcher, mais après un temps d'hésitation, il a décidé de le faire. Il entendait alors parfaitement des éclats de voix. Il a cru qu'il s'agissait de gens qui avaient élu domicile dans cette grange pour faire de la « bagosse », un alcool fabriqué de façon illicite. Il avait déjà eu connaissance que cela s'était vu dans la région. Perplexe, le témoin s'est arrêté. Il a eu l'idée de revenir sur ses pas, car il ne tenait pas précisément à tomber sur des distillateurs clandestins. La curiosité aidant, il s'est glissé prudemment derrière une corde de « pitonne » (mesure de billes de bois, vendues pour en faire du papier). Là, il entendait très bien les voix et il voyait l'objet qui émettait la lumière. Il s'agissait d'un disque lumineux et brillant de 6 mètres de diamètre, suspendu à un mètre et demi du sol. « Je n'avais jamais entendu parler de soucoupes volantes de ma vie et j'étais loin de me douter que ça pouvait être ça... Près de cet appareil, j'ai vu nettement, à cause de la lumière qui était quand même assez forte et qui sortait de l'objet, un être de 1,60 m. Il était bien fait, mince et l'air plutôt jeune. Du moins, c'est ce que j'ai pensé à ce moment-là. Je n'avais pas peur de regarder parce que je n'avais plus peur de faire face à des fabricants d'alcool frelaté. J'ai donc contourné la corde de bois et je me suis avancé ». De près, le témoin a constaté que le « bonhomme » avait un vêtement phosphorescent d'une seule pièce et sur le visage, il portait un masque qui paraissait fait d'un morceau de cuir souple avec des trous pour les yeux. Il commençait au milieu du front et se terminait juste dessous la bouche. Le témoin ne s'est pas senti très brave devant le personnage masqué lorsqu'il s'est tourné vers lui, s'apercevant de sa présence, puis il a prononcé des mots dans une langue inconnue. « Il détachait ses syllabes avec une légère hésitation entre chacune d'elles. J'ai bien pensé que c'était de l'allemand, même si je n'ai pas entendu souvent cette langue ». Presque aussitôt, le témoin a perçu un mouvement sous l'objet lumineux. Un autre personnage a surgi de dessous l'appareil . Monsieur L. B. a fait la réflexion suivante : « Baptême ! Mon affaire est faite ! Ils sont deux et je suis seul ! » Peu rassuré, il observe chaque geste des deux étrangers. Le second personnage est plus petit que le premier ; il est vêtu de la même façon ; sa tête est plus grosse et elle est recouverte d'une sorte de cagoule. Il a les épaules larges, le dos voûté. A la ceinture, il porte un objet semblable à une lampe de poche. D'un geste pataud, il dirige vers le témoin cet instrument, celui-ci se sent aussitôt « mortifié ». (Dans le langage de Monsieur L. B. , cette expression signifie qu'il ne peut faire un seul geste, mais il garde toute sa connaissance ; il entend donc et voit tout ce qui se passe autour de lui sans pouvoir exécuter un seul mouvement). « C'était comme si tout à coup j'avais eu du plomb dans tous les membres. j'ai pensé que si j'essayais de faire un seul mouvement ? Ça prendrait des années avant que j'y parvienne. Et là, j'avais peur, car je me suis dit que si jamais je penchais en avant, je pouvais tomber et m'assommer sur une pierre ou bien me démettre un membre puisqu'à l'époque, je pesais comme il faut 225 livres : j'étais considéré comme un gros homme ». Mais cette impression devait s'avérer non fondée puisque le témoin est resté solidement ancré à l'endroit où il avait été « pétrifié ». Les deux êtres se sont mis à parler. Le premier semblait prendre un ton plus haut comme s'il était le chef. Le personnage à la lampe de poche s'est approché tout près du témoin. Il lui a même touché le menton avec sa main, probablement pour constater sa paralysie. Monsieur L. B. se souvient très bien de cette main aux doigts déformés comme par l'arthrite, « des doigts de vieillard ». Il était bien plus court de taille que le témoin, car sa tête arrivait tout juste à ses épaules. Pour autant que le témoin avait la possibilité de bouger les yeux, il pouvait distinguer les êtres autour de lui. Peut-être que l'être ne le voyait pas très bien, car il a enlevé sa cagoule. Là, même paralysé, Monsieur L. B. a eu un frisson de dégoût. Le visage de la créature était à cinquante centimètres du sien et il en distinguait tous les traits. La peau en était ridée comme celle d'une vieille pomme et tout aussi basanée. Il était déformé par un rictus : on voyait bien toutes ses dents, plus petites que celles d'un homme ordinaire et égales comme si une seule dent avait servi de modèle à toutes les autres. « C'était épouvantable à voir ! Et les yeux, les yeux ! Mon bon Monsieur, c'était quelque chose à voir ! Quand j'y repense, ça me fait encore frémir ! Car il me montrait ses yeux avec ses doigts tout déformés ; je me suis toujours demandé pourquoi. Il avait des globes oculaires semblables aux nôtres, mais le tour des yeux avait des plissures de peau comme le tour des yeux d'une poule ! Et les points noirs des yeux n'arrivaient pas à la même hauteur, comme s'ils regardaient chacun de leur côté. J'ai vu aussi que la face n'avait pas la moindre mobilité : elle était plaquée là, un point c'est tout. J'ai senti dans le geste de cet être qui m'indiquait son visage comme une marque d'amitié ou de confiance même si c'est fou à dire ! Il voulait me faire comprendre quelque chose, mais quoi ? Pour finir, il m'a touché le bras et il a remis sa cagoule. Il est resté quelques minutes à regarder mon visage. L'autre qui n'était pas intervenu jusque-là s'est remis à parler très fort. Celui qui était devant moi m'a quitté sur-le-champ pour se rendre jusqu'à l'engin lumineux. Les deux sont alors montés dans l'objet par une courte échelle ; il m'a semblé qu'ils n'étaient pas bien agiles. » Monsieur L. B.  ne se souvient plus de rien. Il prétend n'avoir pas perdu connaissance, mais il n'avait plus la force d'ouvrir les yeux malgré les efforts qu'il faisait. Il est resté ainsi pendant de longues minutes. Et peu à peu, il a pu bouger de nouveau. Il se sentait très en forme, très lucide, comme si cette période de paralysie avait décuplé toutes ses facultés. Lorsqu'il a été capable d'ouvrir les yeux, il n'y avait plus rien devant lui, ni appareil ni créatures. Il s'est assis dans l'herbe nouvelle et il a essayé de réfléchir à ce qui venait de lui arriver. Le témoin est maintenant âgé de 65 ans (1976). Vingt-cinq ans se sont écoulés depuis l'incident et il n'a jamais pu oublier ».

     

     

    L'A...MASK...A

     

    Ne nous voilons pas la face ! 

     

    Comment ne pas s'apercevoir et reconnaître que ces deux récits sont « structurellement » identiques ?

     

    Exactement comme si l'un des deux textes a servi de modèle à la rédaction et à l'adaptation « habile » de l'autre !

     

    Je ne connais qu'un autre cas de « copier/coller » aussi flagrant dans les « rapports » ufologiques et il concerne la célèbre R3 de Maurice Masse à Valensole (04 France), du 01 juillet 1965, et son « plagiat apparent » de la R3 de Matthieu Morice entre Caen et Creully (14 France), du 01 juin 1964.

     

    [dont je suis obligé malheureusement de vous épargner les récits, dans tous les détails [trop long !] pourtant elles le méritent amplement ! (mais je pourrais y revenir un jour si vous voulez ? Et si Dieu le Veult !) en attendant n'hésitez pas à consulter http://ufofu.tumblr.com/post/26896215803/un-coup-dessai-m-connu].

     

    Dans ces 4 observations R3 identiques (2 par 2) on ne peut nier les faits rapportés, sans porter atteinte à la probité des témoins ou des enquêteurs, qui sont tous « théoriquement » au-delà de toute suspicion de manipulations ou de « tricheries » !

     

    [d'autant que ces « rapports » sont le fait de la « fine fleur » de l'ufologie nationale sinon de la « crème ufologique » internationale ! (dont un officier supérieur de la Gendarmerie Nationale - excusez du peu ! - Non Non Non ! - ce n'est pas Monsieur Jean-Claude Bourret, qui lui, a été promu Général pour services rendus, évidemment, à son "Pays" !)]

     

    Nous voilà donc dans une impasse !

     

     Mais non … « Que nenni ! » …

     

    Car je vous propose de sauter cet obstacle, apparemment infranchissable, en tirant une nouvelle carte, et cette carte est un "merveilleux" « Joker » !

     

    Ce « Joker » [un vrai "miracle" !] : c'est évidemment le fameux [et bien pratique] facteur Oz, qui est généralement appliqué aux faits et aux observations ufologiques, et qui permet de supposer que certaines « créatures » sont capables de manipuler [au premier degrés] notre réalité ou la perception que nous en avons.

     

    Ce « facteur Oz » va donc nous « tirer de ces affaires » !

     

    Dès lors, qu'il y a « soupçon » de « tripotage » le réflexe immédiat est "bien-entendu" de « Douter » … [et le mal est fait (effet !)] … et il devient donc normal, logique  et « automatique » de « mettre en doute » la réalité ou le bien fondé des faits rapportés ! 

     

    [en somme de jeter la poupée avec son eau sale ! et l'objectif est donc atteint ...]

     

    Ne serait-ce pas là le but véritable de la manœuvre ? …

     

    Et in fine [même si les arguments ne manquent pas à "l'Appel" ! Cf. l'article du blog de l'Orden de Chevalerie intitulé "L'Appel"]  le « comment » demeure secondaire, et le savoir : « par qui » a transité la « manipulation évidente puisque irréfutable » s'éclairera : par ce qui est toujours le primordial  : « le pourquoi ? ».

     

    Car  si, par tous les moyens, « on » cherche absolument [et continuellement] à discréditer les deux témoignages : de Maurice Masse et de M. Lorenzi [parmi les plus connus ou re...connus !] c'est que leurs RR3 [ou celles qui leur ressemblent] véhiculent [sans aucun doute] des « données » du plus grand intérêt et donc potentiellement dangereuses pour les partisans de la dissimulation, du camouflage ou du « Cover up » !

     

    Le Tripot...Age

     

     Les Vraies RR3 

     

    C'est bien l'occasion, ici, de ré-examiner, et de comprendre ... autrement … le scénario des RR3 qui [sauf exception !] apparaît généralement comme « stéréotypé » du genre habituel :

     

    une soucoupe volante atterrit [un peu n'importe où] ... ses ufonautes en sortent tournent autour de leur véhicule ou l'inspectent ...  paralysent les témoins à l'occasion ... font [furtivement] quelques prélèvements d'échantillons sur le site d'atterrissage ... et s'en vont à « tire-d'aile » avec leur engin ...

    ... et en somme : toute la « messe (noire) est dite » en peu de mots !

     

    « Dite » peut-être ?… mais sûrement pas … bien perçue et comprise … par tout le monde !

     

    Premier constat : les ufonautes en question sont des policiers, des soldats ou des militaires, la preuve : ils sont armés et ils n'hésitent pas à se servir de leur arme dès que les témoins s'approchent d'un peu trop près de leur « activité » ou de leur « opération » en cours.

     

    Deuxième constat : en atterrissant à peu près n'importe où, systématiquement ils vérifient [ou réparent] leurs engins et/ou effectuent des prélèvements minéraux ou biologiques avant de décoller le plus rapidement possible.

     

    Je sais que la plupart des « idéalistes » un peu rêveurs [et autres adeptes des "Grands Frères Ainés" ou "Big Brothers" de l'espace !] ont préféré voir dans ce deuxième constat l'activité de « scientifiques écolos » soucieux de l'avenir de la planète, et du bien-être, et du bonheur de ses résidents … alors que s'ils y regardaient, d'un peu plus près, ils comprendraient peut-être ou réaliseraient simplement, que leurs « chers » ufonautes sont tout bonnement tombés "en rideau !" [le coup de la panne quoi !]  

     

    Alors que l'on peut légitimement [et raisonnablement] penser…

     

    1/ … que les voyages supposés « spatiaux temporels » ne sont probablement pas tous « de tout repos » [Cf. les incidents et accidents de nos propres vols spatiaux !] et qu'un pourcentage non-négligeable d'entre eux dérivent [ou sont déroutés] de leurs parcours ou de leurs destinations ou objectifs initiaux, d'où, les « sites » ou lieux d'atterrissage très divers et souvent vraiment improbables [en réalité forcés !] sans oublier les accidents ou les crashs d'ovnis.

     

    2/ … et que cette obligation [indispensable] de refaire le « point spatio temporel », en prélevant des échantillons du « biotope ou de l'environnement », est sans doute, l'un des meilleurs moyens, et sûrement le plus rapide, de confirmer [et d'assurer] sa situation « quelque part dans le temps et dans l'espace » !

     

    Troisième constat : si les RR3 sont majoritairement « Furtives », c'est que les ufonautes sont sur la défensive, car ils sont [toujours] armés, et ils refusent ou fuient les Rencontres avec les Témoins, et leur présence est de courte durée.

     

    Visiblement nos « Visiteurs » ne sont que de passage [surtout si c'est accidentel !] et ils donnent aussi le sentiment ostentatoire de fuir un danger, ou une menace quelconque, qui serait en permanence au-dessus de leur tête, comme une épée de « Damoklès ».

     

    Leur comportement opérationnel (presque obsessionnel !) fait penser également aux « opérations commandos » ou du genre "vite fait" et "pas vus, pas pris !".

     

    Mais quelle Milice Terrestre ou Céleste craignent-ils réellement ?

     

    [Celles que nous signalent l'Orden de Chevalerie ? Cf. L'Article intitulé : La Milice Terrestre et la Milice Céleste]

     

    Cependant, les RR3 ne sont pas forcément toutes " accidentelles ".

     

    [et ne négligeons pas aussi qu'elles peuvent être aussi, en même temps, et d'une certaine manière très opportunes !]

     

    Ce qui nous ramène à celle de Maurice Masse, à Valensole le 01 juillet 1965, et qui est considérée comme un « classique irréfutable » de l’ingérence Alien sur notre planète (elle mériterait effectivement qu'on s'y attarde longuement) rappelez-vous qu'elle présente en effet un certain nombre de particularismes « hors normes » comme par exemple le fait que Maurice Masse et son père avaient constaté [avant sa RR3] depuis une semaine des dégâts nocturnes dans son champ de lavande, mais aussi le fait probablement le plus « dérangeant » qui est sans aucun doute les traces physiques laissées par « son » Ovni, avec en surcroît ce pivot central, qui a creusé un trou cylindrique de 18 cm de diamètre et de quarante centimètre de profondeur, et coudé en trois sillons plus petits (six centimètres de diamètres) à partir de quarante centimètres de profondeur.

     

    Or, ce « pivot » central fait penser à une « sonde » et cette sonde ne suggère t-elle pas aussi que les « ufonautes » auraient très bien pu, en réalité, déposer ou diffuser "quelque chose" sur place ? N'a t-on pas également signalé la présence d'un objet dans le sol en profondeur et à l'aplomb de ce pivot central ? [Cf. La RR3 de De Trancas en Argentine du 21 octobre 1963 où la famille Moreno a découvert, apres le départ des Ovnis, une multitude de petites boules composées à 96,48 % de carbonate de calcium et 3,51 % de carbonate de potassium et en suspension dans l'air l'odeur du soufre (confirmée et constatée par la doctoresse de l'hôpital de Trancas dont la voiture s'immobilisa à l'approche des Ovnis volant à basse altitude) cette odeur si  caractéristique des contacts avec "l'Infra-Monde" ! Cf. L'article du blog de l'Orden de Chevalerie intitulé : La Gelée des Étoiles et le Beurre des Sorcières]

     

    Vous voyez bien que les RR3 ne sont pas toutes exactement identiques, et vous commencez à mieux comprendre pourquoi celle de Maurice Masse est particulièrement dérangeante pour les « debunkers » de l'ufologie !

     

    Et celle de M. Lorenzi à Menton ["On...(nous)... Ment !] alors ? …

    Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle sort, elle-aussi, de l'ordinaire !

     

    L'A...MASK...A

     

    Le Dévoilement 

     

    C'est précisément "Lui" que les « démolisseurs de l'Ombre» [ou si vous préférez les « Men In Black »] veulent « Mask-Guer » !

     

    Alors donc ! … 

    dans les colonnes de Lumières Dans La Nuit de Raymond Veillith

    [Étymologie : Raymond = "celui qui protège par ses conseils éclairés". Le Roy du Monde en somme !]

    notre cher et regretté Ami Fernand (Étymologie : Fernand = courageux, aventurier)  Lagarde ne se trompait pas ? …

    lorsque qu'il suggérait que « l'ufonaute » avait peut-être bien « dévoilé » à M. Lorenzi son « vrai visage », celui d'un Alien appartenant à une espèce qui aurait (visiblement) de graves problèmes de dégénérescence « génétique ou Genèse...ique »...

     

    Et si c'était la principale raison de leur venue sur Terre, à tous ces «Visiteurs Extraterrestres», qui viendraient allégrement puiser dans son extraordinaire réserve génétique ? [et dans sa "bio-masse", à la récurrence, de la moisson ! ]

     

    [c'est vrai que ça aurait le mérite d'expliquer, en outre, tous ces abductions / kidnappings et autres disparitions (réelles et) définitives sans cesse en augmentation]

    [sur plus de 63 000 disparitions signalées en France pour 2014 :

    au moins (en moins !) 12 000 à 15 000 sont véritablement définitives. Cf. L'Article du blog de l'Orden de Chevalerie intitulé : Le Grand Secret ]

     

     ... finalement c'est pas "6 Bête" ! …

     

    ... et si La...Garde ... avait ... « Divi...ne...ment » ... raison ?

     

     

    L'A...MASK

     

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  •  « Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement en Dieu.Toutes choses ont été faites par Lui, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans Lui. En Lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes.  Et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue.»

    (Prologue de l'évangile selon Saint Jean) 

     

     

    Verbum

     

     

     

    Si ... certains ont « bien » rencontré le Diable [Cf . Article du blog de l'Orden de Chevalerie intitulé : La Gelée des Étoiles et le Beurre des Sorcières] d'autres ont dû nécessairement apercevoir ses légions de Démons.

     

    Voici donc le récit d'une Rencontre Rapprochée de ce Type que nous avons extrait directement du dossier des « RR3 Rencontres du Troisième Type en France » …

     

    [de Julien Gonzalez . Collection : Énigma. Éditions Le temps Présent. 2014]

     

    … qui devrait bien nous le confirmer et, espérons-le, ouvrir de nouvelles perspectives à bon nombre de personnes qui, visiblement, en ont expressément besoin …

     

    Mais « à tous : Saigneurs, toutes les Horreurs ! », et une fois n'est pas coutume, commençons par la version mise en ligne, par les enquêteurs (En-quête ...des Tueurs) et Chercheurs (Cherchent...Heurts) officiels français du CNES, à Toulouse, Grands Amateurs en matière de « Gai ...Pan » :

     

    987-12-01120|NARBONNE (11) 1987|43,183333|3|12/12/1987|11|  Aude| Languedoc Roussillon| Rencontre avec 6 extra-terrestres.|| Le 12 décembre 1987, un témoin dit avoir rencontré près d'une ruine un groupe de 6 personnes étranges avec lesquels il échange quelques mots. Ces êtres mesurent entre 1 mètre et 1 mètre 50, et l'un d'entre eux dessine au sol deux signes. Ils partiront sur des engins sans moteur et sans roues ressemblant à des traîneaux. Le témoin fera une déposition à la gendarmerie le 28 décembre après qu'un article sur le sujet soit paru dans la presse locale le 20 décembre. Aucune autre information n'a pu être recueillie à la suite de ce témoignage.|||D | 

    (Rapport et Synthèse du Geipan : site du Geipan : http://www.cnes-geipan.fr/)  

     

    Voici maintenant la version proposée par Julien Gonzalez :

     

    Narbonne, « Malvési », Aude, 12 décembre 1987, 10h45. Témoin : M. Gérard Lamy.

     

    Il est 10h45, le témoin quitte son domicile pour se rendre près de l'usine de Malvési afin de récupérer du bois. Voilà l'étrange récit de son aventure que M. Gérard Lamy fit auprès de la Gendarmerie Nationale :

     

    « Arrivé en face des portails d'entrée de l'usine, environ 50 à 80 mètres avant, j'ai emprunté un chemin de terre sur la gauche pour aller récupérer du bois d'une bâtisse qui a été rasée. Cette maison en ruines se trouve à environ une dizaine de mètres de la route. J'ai garé mon véhicule en face de la bâtisse sur le chemin. Je suis descendu de ce dernier et contrairement à mon habitude, j'ai fait le tour de la plate-forme restante de cette habitation car il pleuvait. Après avoir avancé de 10 mètres, j'ai aperçu sous de petits arbustes, des taillis d'environ 5 à 6 mètres de hauteurs, un groupe de personnes qui s'était abrité. Ces personnes étaient aux nombres de 6, trois de 1,50 mètre et trois de 1 mètre. Gêné de leur présence je leur dis bonjour et je n'ai eu aucune réponse. Ensuite, je leur ai dit « sale temps aujourd'hui », c'est à ce moment-là que j'ai commencé à entendre des sons bizarres échangés entre eux. Pensant que c'était un groupe sportif qui s'était mis à l'abri, je leur ai demandé s'ils étaient du coin. A ce moment-là, ce qui me semble être une femme s'est avancée vers moi et m'a dit dans un mauvais français et avec une voix nasillarde « planète are » (phonétique). Croyant à une blague je leur ai répondu « Ah oui vous êtes des extraterrestres » tout en me retournant pour voir si je ne faisais pas partie d'un plateau de cinéma. Ce dit personnage qui s'est avancé vers moi s'est penché vers le sol et m'a fait dessiner deux signes et m'a transcrit en me disant « ciel », « démon ». J'ai également aperçu lorsque cette personne s'est avancée quatre drôles d'engins qui ressemblaient à des traîneaux des neiges sans moteur, sans roue, démunie de tout système mécanique. Ces engins étaient de couleur clair, deux mesuraient 1,50 mètre et les autres étaient plus petits. Intrigué par le fonctionnement de ces engins, j'ai posé la question « comment marche votre truc ?» La femme m'a répondu du « magnétique » et m'a fait comprendre qu'ils s'étaient arrêtés à cet endroit car la pluie les gênait. Ils m'ont également déclaré « pas de relais de base ». Je leur ai ensuite posé la question si leur planète, c'était mieux. Ils m'ont répondu « moins de travail ». Je leur ai demandé s'ils étaient comme nous et s'il y avait une atmosphère. Je n'ai pas eu de réponse mais ce qui me semblait être un homme s'est avancé et m'a tendu sa main et elle m'a paru très froide. J'ai demandé s'il y avait longtemps qu'il habitait une planète et il m'a été répondu en me montrant certaines personnes « XIIIe siècle » et d'autres personnages « IXe siècle ». Celui qui m'a tendu la main s'est désigné lui-même et a dit « pôle arctique ». Je leur ai posé la question s'ils prenaient des gens sur cette planète. J'ai eu comme réponse « Vous pas intéressant mais des gens viennent avec nous ». A ce moment-là, un septième personnage est arrivé et est rentré dans une sorte de transe en parlant entre eux en émettant des sons, il semblait furieux de notre conversation. Ensuite toutes ces personnes sont remontées sur leurs engins, un petit sur un petit engin, deux petits sur un petit engin et les trois autres sur un gros engin, celui qui est arrivé en dernier sur un gros engin. Sans rien mettre en route, les engins se sont mis à pivoter sur place en décollant légèrement et ensuite j'ai eu un « trou noir », comme un malaise dont je ne peux définir la durée. Je précise que je ne suis pas tombé au sol car je n'étais pas sale. Ensuite je suis revenu à mon véhicule en le touchant pour voir si ce n'était pas un rêve. Je précise que quand les engins ont démarré, j'ai reculé d'environ 5 à 6 mètres. Ces personnages avaient le teint terreux, de type très asiatique et avaient des rides au départ du nez perpendiculaires à la face. Ils étaient vêtus d'une sorte de combinaison foncée marron noir. Je ne peux définir la matière des vêtements ni la matière avec laquelle avaient été fabriqués leurs engins. Je précise qu'un personnage avait les cheveux très blancs comme les albinos, une autre avait les cheveux poivre et sel et les autres étaient encapuchonnés. Cela semble drôle, mais ce que je vous déclare est toute la vérité concernant cette affaire. Ceci n'est pas une hallucination. »

     

    (Rapport et Synthèse de l'article de : L'indépendant de Perpignan du 20 décembre 1987 ; Lumières dans la Nuit, enquête de Mme Denise Lacanal et de M. Théodore Revel ; Contact OVNI : bulletin du CEO France n°9, janvier-février-mars 1988, enquête de M. Marchel Pech, membre de l'IMSA et enquêteur LDLN ; P. V. de la Gendarmerie Nationale n° 1926/1987)

     

     

    Si on se base sur la « synthèse » mise en ligne par le Geipan,

    Le « PAN »(Phénomène Aérospatial Non identifié) de « Malvési » est un PAN de catégorie D : observation inexpliquée malgré les éléments en possession du Geipan. (La catégorie D recouvre deux sous-catégories :Les PAN D1 qui correspondent à des phénomènes étranges, mais dits de consistance moyenne, par exemple associés à un témoignage unique, sans enregistrement photo ou vidéo. [le PAN de Malvési est donc un Pan D1 !]

    Les PAN D2 correspondent à des phénomènes très étranges et de consistance forte : plusieurs témoins indépendants et/ou des enregistrements photo ou vidéo et/ou des traces au sol.) …

     

    autant dire ici : qu'avec cette analyse du Geipan du « PAN » observé par Gérard Lamy à Malvési (« con nous D...sert » !) et que du même coup (Bas), forcément, on reste sur sa « Fin » ! …

     

    Fort heureusement (pour les curieux par nature) non seulement le témoin Gérard Lamy a eu le courage de témoigner, et "providen...ciellement" (pour la recherche et l'étude des ufologues) les vrais ufologues (indépendants et du secteur privé) au moins - eux - ont fait consciencieusement leur « travail » d'enquêteurs et de rapporteurs, avec (beaucoup plus de professionnalisme) de sérieux et de minutie, que le Geipan [mais c'est vrai que c'est la coutume !]

     

    Car en effet, ce cas est vraiment exemplaire, puisqu'il nous révèle l'identité de nos « Visiteurs Extraterrestres » … et, en plus, directement de leur propre « chef » et aveu !

     

    On aurait donc affaire à des « Démons » ! …

     

    On comprend mieux, dès lors, l'embarras gêné du Geipan, et on imagine facilement, aussi, l’incrédulité ou la réserve, du plus grand nombre des ufologues, devant une telle révélation. Tout ceci étant bien-entendu inconcevable et bien évidemment incroyable !

     

    … et pourtant ! … Et pourtant il existe un moyen très simple de s'en assurer, il suffit pour cela d'analyser et d'interpréter autrement (que très superficiellement à la Geipan) ce type de témoignage.

     

    Commençons, par examiner si vous le voulez bien [et vous le « Jacques ...Vallée » bien !] la sémantique précise des mots [ou si vous préférez le « Verbe » !] utilisés par les « ufonautes », et re-transcrits, par Gérard Lamy.

     

    Les "ufonautes", prétendent êtres des « Démons », ...

    or le mot « Démon » provient du Grec ancien « daímôn » qui signifie « dieu » ou « puissance, divine », ce qui nous rapproche déjà de la notion des « anciens dieux » et des pseudos « visiteurs extraterrestres » si chers aux partisans de la "Théorie des Anciens Astronautes" (plutôt simpliste et très réductrice, car : perçue exclusivement et, surtout, un peu trop orientée « Tôle et Boulon » !)

     

    Mais, s'il vous plaît, ne nous arrêtons pas en « si bon chemin » !

     

    Car, dans le même temps …

     

    [visiblement quelque peu agacés par la candeur et l'insistance du témoin, et probablement par arrogance et condescendance, à moins, que ce ne soit, ce qui serait tout de même très surprenant, par « Bonté d'Âme » !?]

     

    nos « Bons Démons » nous révèlent leur origine exacte :

     

    Ils viennent, selon eux, très précisément du « Ciel » et de la « Planète Are »

     

    [« Are » n'étant qu'un simple essai de transposition phonétique] …

     

    Or, si on les entend bien, … Il s'agit de la « Planète Are ou Ar ou Aar » … étonnamment (?) mais apparemment, ils disent vrai (!) ... car cette planète existe vraiment, et en plus, elle est très facile à identifier et à localiser ! …

     

    [Ce qui prouve bien, au passage, que ces « sympathiques » « Démons » sont des êtres particulièrement lettrés, et qu'en plus ils ne sont pas nés de « la dernière pluie » ! … Ils l'affirment d'ailleurs eux-mêmes puisqu'ils prétendent apparemment exister depuis le « IXe » et le « XIIIe » siècle !]

     

    [évidemment, il ne faut pas non plus être un  bien "Grand Mage" pour se rendre à l'évidence que ces chiffres ont une résonance symbolique et donc un sens allégorique : le « 9 » renvoyant par exemple à la « génération », et le « 13 » à la « mort » ou « fin de cycle » cf. L'année Solaire véritable celle des « 13 » Lunaisons ou 28x13 = 364 + l jour du « Temps hors du Temps » !]

     

    Mais maintenant, « atterrissons-nous » plutôt à cette fameuse et mystérieuse planète « Aar » …  

     

    En allemand ancien,

     

    [et vous voyez bien que ce n'est pas qu'une "Urban Legend", les « Démons » sont réellement polyglottes !]

     

    « Ar ou Aar » = Aigle … C'est donc la « Planète Aigle ou la planète de l'Aigle » … Et vous la connaissez tous …

     

    Puisque c'est celle du « Dieu des dieux » (avec lequel on la confond !) et qui a pour emblème « L'Aigle » [en plus du « Foudre »] à savoir « Zeus » chez les Grecs et « Jupiter » chez les Romains.

     

    LE FOUDRE

     

     

    Autrement dit, me direz-vous, nos « ufonautes » prétendent venir de la Planète Jupiter !? …

     

    Mais ... ("Jean ... Sider" !?)  n'est-ce pas aussi absurde (!) que de rencontrer des extraterrestres en traîneaux dans le midi de la France ? …

     

    Je vous l'accorde très volontiers, je suis bien d'accord avec vous et je partage votre avis...

     

    Néanmoins … ce n'est pas ce qu'ils disent (réellement) car en utilisant le mot « Planète » ... et vous l'avez bien compris ; puisque ces « ufonautes » s'expriment, non pas sur un mode littéral, mais bien sur un mode "analogique" qui est celui du langage métaphorique,

    (celui qui est « l'au-delà !» de la Forme et de son Sens apparent)

    et où le mot « Planète » a bien une autre signification, qui la différencie de celle d'un simple « Astre froid » ou  d'une « Terre/Planète » du Kosmos [qui est son sens "ordinaire" et le plus couramment employé en tant que "Planète" ou "Terre Physique"  !].

     

    Et en effet, le terme Planète possède un second sens, qui est son premier ! (son sens etymologique).

     

    Étymologiquement le mot « Planète » a pour origine l'expression du Grec ancien : « planêtês astêr», qui désigne un « astre en mouvement » ou « astre errant », par opposition aux étoiles, qui apparaissent fixes et immobiles sur la voûte céleste et qui sont elles assimilées, par la Tradition (qui est celle de l'Orden de Chevalerie), aux Archanges et aux Anges du Dieu « Unique en Trois personnes ». 

     

    Faisons donc, dès à présent, le point [fixe !] :

     

    Ces « dieux daímôns » prétendent donc appartenir à la « Sphère » d'un « Astre », qui est en errance ou en « dés-errance » et qui se prend pour le seul « Dieu des dieux », et cet « Astre » c'est celui qui les porte, ou qui leur apporte la « lumière », c'est donc [clairement !] le « Porteur de Lumière » à savoir le célèbre et fameux « Lucifer = du latin lux, « lumière », et ferre, « porter ») ».

     

    [Cest (Bien) Ce Qu'il Fallait Démontrer ! Car si on suit correctement leur mode de « langage métaphorique », ces « ufonautes » s'apparentent, assez bien, à ces « Âmes Vagabondes » extraterrestres envoyées en « pèlerinage » [ou en mission !] sur Terre par leur « Seigneur et Maître Lucifer », qui est l'antique diviseur, à savoir, le "bifide",

     

    qui foudroie (et c'est probablement ce qui est arrivé à Gérard Lamy avec son expérience du « trou noir ») avec sa « Fourche » ou avec son « Foudre » :

    (en forme de zigzag ... qu'arboraient dèjà certaines chemises sombres, brunes ou noires, de la même couleur apparemment que les habits portés par les "Petits Soldats"... "cagoulés" ... de Malvési !),

     

    le cercle [de l'Amour Divin] qui est celui de « l'Unique et Universelle » « Religion = religare signifiant relier ».

     

    (c'est du reste ce que nous « signale », en nous le montrant directement, une des rares « marques » portées par les Ovnis ! Cf. L'observation ovni de en Belgique décembre 1979)]

     

    Ufo - Mark

      

    Pour nous tous, et pour tous ceux qui seraient encore « tourmentés », par quelques doutes, prêtez l'oreille :

     

    afin « d'entendre » plus attentivement l'un des « ufonautes », qui nous confirme, à sa façon ce lien « Luciférien » puisqu'il fait référence directement et précisément à "l'Arctique" …

     

    « et c'est celui-là-même, qui avec une certaine « retenue obséquieuse », sous couvert d'une « réserve distante » (quelque peu méprisante !) a signifié à M. Gérard Lamy que sa « personne propre » ne les intéressaient pas, ou qu'elle n’était pas particulièrement intéressante !)

     

    [c'est là qu'il faut se souvenir que l'enfer, qui est toujours pavé de « fausses bonnes » intentions, et rappeler aussi qu'il est ... parait-il, gelé ! (figé, fixé et pétrifié !)]

     

    Car si ce mot « arctique » qui provient, aussi, du Grec ancien « árktos » et qui signifie « ours », est employé par cet « ufonaute », c'est qu'il est en rapport avec les constellations des Grande et Petite Ours , et c'est sans doute, pour bien nous signifier que l'« Ar » est bien son « axe polaire » ou son « Étoile ou Astre Polaire », autour duquel tourne tout son existence, et la totalité de son « Univers de Daimon ».

     

    [sans négliger que « Arctique » peut se lire ainsi « Ar (L'Aigle)...(et ) C (ses)...Tiques », et que l'Ours était appelé par les Anciens : « l'Homme des Bois ou Coureur des Bois », et comme « par coïncidence signifiante » :

    que font précisément ces « ufonautes » que rencontre M . Gérard Lamy, ce 12 décembre 1987 ? : … sinon courir, eux aussi, les Bois ... ceux de Malvési !]

     

    Mais ce n'est pas tout !...

     

    L'Aar (en allemand Aare) est aussi une rivière de Suisse longue de 288 km, et un affluent de la rive gauche du Rhin. (Trois des quatre centrales nucléaires suisses sont situées sur les rives de l'Aar, la quatrième se trouvant juste après la confluence de l'Aar avec le Rhin.)

     

    Elle prend sa source dans le massif de l'Aar - Gothard à partir des eaux provenant de la fonte des glaciers du Finsteraarhornà 4.275 m d'altitude. Par une dizaine de paliers, elle descend dans sa vallée supérieure. Ensuite elle rejoint les lacs de Brienz puis de Thoune. Son cours se dirige ensuite vers Berne, où la vieille ville a été construite au bord d'un méandre. Un lac artificiel a été créé après à Mühleberg. Plus loin, elle est rejointe par la Sarine, son principal affluent rive gauche, et continue jusqu'à Aarberg, d'où son cours a été modifié par le canal de Hagneck, afin que ses eaux rejoignent le lac de Bienne. À sa sortie, l'Aar continue son cours  vers le nord jusqu'au Rhin dans lequel elle se jette, près de Koblenz, sur une longueur totale de 288 kilomètres... [Cf . Wilkipédia]

     

    Sans vouloir « approfondir » plus avant, les liens, des correspondances et de la signalétique, sur ce thème, 

    (Cf. La Théorie des Signatures ou des « Signes ... qui Assurent ! »)

    nous ferons cependant remarquer [et c'est sans doute ici une des "illustrations" de ce que certains appellent timidement, "pudiquement" ou (si vous préférez)  prudemment la "géographie sacrée" !] que l'Aar est une rivière qui fait bien (doublement !) le lien entre « l'Aigle » et « l'Ours » et qu'elle les associe, puisqu'elle relie les deux villes de Berne et d'Aarberg (Aarberg dont les Armes sont très parlantes : Aar = Aigle et Berg = Montagne ) qui portent respectivement (comme par "Hazard Baltazar" !) les Blasons de « l'Ours »

    (Berne ou Ber = l'Ours ou Verne = l'Aulne [Cf. Le Roy des Aulnes !] ou Berg = Montagne ou Berner = Mettre le pavillon [le "Papillon" !] en Berne ...)

    et de « l'Aigle ».

     

    Les Mauvaises Rencontres

    L'Aigle

     

    Reste à tenter de répondre à la question, des engins bizarres observés par Gérard Lamy, et qu'il décrit comme des « Traîneaux des Neiges » ! (?) …

     

    Ces très curieux « Traîneaux des Neiges », présents ce 12 décembre 1987 dans les bois de Malvési, et utilisés par des Lutins Aliens "seconds" d'un "Faux Père Noël" ou d'un "Vrai Père Fouettard" (à la place des "bonnes et vieilles" Soucoupes Volantes classiques ) ?  ...

    " C'est sûr et certain ... et définitivement ... ils ne viennent pas de Laponie ! "

     

    Quels drôles d'engins vraiment ! …

     

    Hé ! me direz-vous les « Esprits Farceurs » ne sont pas à une facétie près …

    Mais ... bien au contraire … pour ma part, je répondrais qu'ils sont ici,

    et en l’occurrence  : « on peut plus "graves" et sérieux » !

     

    Voyez plutôt :

     

    Le mot « traîneau » provient du latin médiéval tragīnāre, ou dérivé du latin médiéval tragere ou du latin classique trahere, et dont les sens sont : tirer ou solliciter, trier ou tirailler, ou rassembler, ou traîner avec soi ou derrière soi, ou emmener ou charrier, ou entraîner, tirailler, extraire, rassembler, ou se livrer ou s'abandonner au sommeil, ou enlever, ravir, voler ou s'attribuer, s'approprier, revendiquer, absorber, sucer, aspirer, etc.

     

    Vous voyez bien, maintenant, que ce langage « figuré » avec « la mise en scène » visuelle des « traîneaux » exprime et synthétise, à lui seul, tout le plan d'actions mises en œuvre par les « prises d'Abduction » des témoins/cobbayes lors des RR3 et des RR4, qui, décidément, s'apparentent de plus en plus aux « prises de possession » des "candidats/victimes", volontaires ou involontaires, au cours des « rapts ou enlèvements » des « sabbaths » d'antan, où les attiraient et les entraînaient : les « Suppôts et Fidèles de Sathan » …

     

    C'est aussi cette image :

    (ou "Em...Blème" = "Ans...(des)...Blèmes" ! c'est à dire les "Temps" des "Albinos", que sont les "Men In Black" dont le "M" [de "M Le Maudit" !] est la Mark ...

    Cf. "L'Un...Signe" en forme de "M" de l'Ovni/"Airship" observé en Avril, en Illinois, au cours de la "vague" ufologique de 1897, un "bon" siècle avant la "Mauvaise Rencontre" de Gérard Lamy !)

     

    Ufo - Mark

     

    et que nous montre, encore, une autre, des rares « marques ou insignes » portées par les Ovnis, et qui nous suggère, de manière schématisée, à la fois, un « Traîneau » et un « Sabot » …

    le « Sabot » étant aussi un double symbole de l'anarchie et du sabotage. (Cf. Ovni observé au Tennessee USA) :

     

    Ufo - Mark

     

     (autrement dit : c'est tout le programme, annoncé depuis longtemps dans les Saintes Écritures, de « Lucifer » !)

    [ "Sabots...Âges" c'est-à-dire : l'Âge ou les Âges du "Porteur" ou "Porte...Heurts" (le Père...dur...bas...tueur !) au sabot ... ou des "Sabots" ("Tueurs" !)  du "Bouc", qui est l'une des " représentions ou incarnations" des "manifestants" du Diable  au "Sabbath" ou "Sabboth" (en somme les discothèques ou "Boites de Nuit" de la belle époque !)  ]

     

     

     Enfin, terminons "l’exégèse" (provisoire) de cette affaire avec une dernière précision.

     

    Le site de Malvési est une ancienne carrière de soufre exploitée de 1935 à 1953, pour la production de dioxyde de soufre, et que l’exploitation de la mine a laissé sur le site un massif de résidus dans lequel ont été creusés les premiers bassins de l'usine atomique[Cf . Wilkipédia]

     

    (C'est l'usine Areva Malvési de raffinage et de conversion du Yellowcake [un concentré de minerai d'uranium] sous la forme de tétrafluorure d'uranium (UF) située à Narbonne dans la zone industrielle de Malvezy). [Cf . Wilkipédia]

     

    [Comme vous le constatez à votre tour, ce n'est pas d'aujourd'hui, seulement, que nos « Amis » Extraterrestres s'intéressent de près à nos « Affaires Nucléaires », et qu'ils visitent [ou contrôlent ou surveillent ?] nos « sites stratégiques », et pas uniquement avec des « Drones »] …

     

    Mais que fait : La Police !? Le Geipan !? et L'Armée !? 

     

    Il est vrai aussi (à leurs décharges !) que les carrières, mines, grottes et les cavernes ont la réputation (légendaire !) d'abriter ou d'être les "Pouponnières Naturelles" des Nains Farfadets, des Gnomes et des Petits Lutins ...  

     

    Dans ces conditions - et après tout - rien de surprenant, à ce que M. Gérard Lamy y a rencontré des "Démons Extraterrestres ... de Petites Tailles"...

     

    Sans oublier tout de même que depuis le début, vous vous doutiez bien, que toute cette affaire de : Malvézy (ou Monemvasia = l'unique voie, "ou Voix de " Son Maître" !) sentait ... dèjà ... fortement et très abondamment  :

    l'odeur du soufre ! ... Non ? 

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